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Me Frédéric Legrand est-il vraiment mort dans Indéfendable? Son interprète Martin-David Peters nous titille...

Photos de la série Indéfendable

Plusieurs téléspectateurs se posent encore la question à savoir si le perfide Me Frédéric Legrand est bel et bien décédé, dans Indéfendable. Nous vous en parlions ici : plusieurs esprits vifs parmi le public fidèle de la quotidienne de TVA ont déduit que l’avocat-criminaliste, victime d’un meurtre (ou tentative de…) par balles avant les Fêtes, n’est peut-être pas réellement mort.

Les plus suspicieux croient que le très antipathique Legrand pourrait simplement avoir orchestré le coup pour échapper à l’un de ses (nombreux) ennemis, certains frayant dans le milieu criminel. Pourrait-il simplement se cacher quelque part?

Loin de faire taire les rumeurs, Martin-David Peters, interprète de Me Frédéric Legrand, en a plutôt rajouté une couche en entrevue avec Showbizz.net, en début de semaine, laissant entendre que son protagoniste pourrait revenir en septembre.

« Il faut vraiment voir le dernier épisode. Le dernier épisode est important. Ça reste un mystère. Mon personnage est mort, mais on ne l’a pas vu mourir; beaucoup de gens se posent la question », a laissé planer l’artiste, avant d’enchaîner :

« D’ici la fin de la première saison, on aura une réponse officielle par rapport à ça... »

La conceptrice et superviseure de l’équipe de production d’Indéfendable chez Pixcom, Izabel Chevrier, racontait ici à Showbizz.net que la finale de la saison sera stupéfiante, et aura « un impact monstrueux sur le cabinet » Lapointe-Macdonald. Ici, Martin-David Peters racontait comment il a appris le sombre (ou pas…) destin de son Me Legrand.

Par ailleurs, Martin-David Peters incarne si bien son rôle de l’exécrable Me Frédéric Legrand dans Indéfendable qu’il s’est retrouvé en nomination à la récente cérémonie des Zapettes d’or de C’est juste de la TV dans la catégorie plus ou moins convoitée du Détestable de l’année. Il s’est hélas incliné, vendredi dernier, devant un autre « vilain » – apprenez lequel ici –, mais « l’honneur » ne l’en a pas moins amusé.

« Les gens me disent toujours qu’ils ont aimé m’haïr. Et ça, pour moi, c’est très, très flatteur. Tout le monde dit que c’est un "méchant", mais moi, je l’aimais, ce gars-là! (rires) J’avais à le défendre malgré ses défauts. Il faisait des mauvais choix, mais j’ai toujours dit que ce n’était pas le plus méchant de la série! »

Martin-David Peters, qui est l’un de nos acteurs les plus occupés depuis quelques années, avec des rôles dans une multitude de séries (Fragile, Bête noire, Après, Plan B, La confrérie, L’homme qui aimait trop, Sortez-moi de moi, Les petits rois, Audrey est revenue, Ma mère, Complètement Lycée, etc), fera bientôt partie d’un nouveau projet gardé pour l’instant secret, qui sera annoncé prochainement. L’homme dit se réjouir qu’on pense à lui pour une multitude de rôles très différents.

« Je suis vraiment chanceux. Comme comédien, c’est agréable de ne pas être mis dans une boîte, qu’on ne me donne pas toujours la même chose. Je suis choyé. »

On le retrouvera aussi au Théâtre du Nouveau Monde (TNM) du 23 février au 3 mars 2024, le temps de six représentations seulement, dans la pièce M’appelle Mohamed Ali, une création historique constituant en un monologue divisé en huit comédiens. Du nombre, outre Martin-David Peters, on trouve Fayolle Jean Jr, Anglesh Major, Widemil Normil et Rodley Pitt. Dans M’appelle Mohamed Ali, un acteur sur le point d’entrer en scène se projette dans un dialogue avec le célèbre boxeur américain, qu’il personnifie. Les répliques attribuées à Mohamed Ali dans l’histoire sont tirées de véritables citations émises par le légendaire homme dans des conférences et des entrevues au cours de sa vie. « C’est vraiment une question d’inspiration. Mohamed Ali est un grand champion de boxe, mais dans sa société, il a aussi dû se battre pour avoir de la dignité, se faire respecter. Dans le ring, il avait ses poings, mais dans la vie, il avait sa voix, prenait sa place et se faisait entendre. Encore aujourd’hui, il ne faut pas avoir peur de s’exprimer et de se faire entendre », indique Martin-David Peters. Le spectacle, écrit par l’auteur congolais Dieudonné Niangouna, avait auparavant été présenté dans d’autres contextes à Montréal, notamment au Festival TransAmériques et au Théâtre de Quat’Sous. Pour plus d’informations, on consulte le site du TNM.