En 2020, Cathleen Rouleau et Sylvain Parent-Bédard ont ajouté un membre à leur belle maisonnée en ouvrant leur foyer à une petite puce en famille d’accueil de type banque mixte.
La fillette a aujourd’hui 3 ans – on ne peut la nommer pour des raisons administratives et de sécurité – et s’est intégrée à merveille auprès de ses deux grands frères, Antoine (qui est polyhandicapé, et vedette et sujet d’À propos d’Antoine), 16 ans, et Charles, qui a 14 ans.
« Elle est placée à majorité chez nous », nous informe Cathleen, qui nous parlait ici des soins apportés à son beau-fils Antoine lors du tournage de la série.
« On finira peut-être par l’adopter », poursuit l’humoriste, auteure et comédienne. « Mais, pour l’instant, on prend ce qui vient. On est tellement heureux, tellement remplis, et avec Antoine, c’est extraordinaire! Notre fille veut le nourrir, l’aider à s’habiller, enlever ses bottes, pousser sa chaise. Elle s’assoit avec lui et "chille" avec. C’est beau de les voir! »
Dans À propos d’Antoine, l’alter ego du fils cadet de Sylvain Parent-Bédard, Charles, le petit Georges (Edouard Biron-Larocque), a une dizaine d’années et est d’une maturité et d’une lucidité surprenantes. Encore là, comme beaucoup d’autres éléments de la série, la réalité rejoint la fiction, assure Cathleen Rouleau : bien que plus âgé, dans la vie, que Georges, son vis-à-vis fictif, Charles est quasi parfait, encense l’amoureuse belle-maman. À un point tel qu’elle voudrait bien que sa fille puisse s’inspirer de la sagesse de Charles.
« Charles, c’est l’autre côté de la médaille d’Antoine. Charles est un être exceptionnel, d’une grande maturité, avec tous les talents, et tout lui réussit! Il a des notes extraordinaires de plus de 95 % et plus dans toutes ses matières. Il est excessivement sage. Charles ne joue pas aux jeux vidéo. Charles arrive à la maison, le soir, et il étudie. Il est extraordinaire! C’est un enfant comme je n’en ai jamais vu. »
« Je veux donner de bonnes valeurs à ma fille. Je ne veux pas qu’elle soit comme Charles, je veux qu’elle soit elle-même, mais je veux qu’elle puisse voir Charles comme modèle de vie, parce qu’il est fantastique! », conclut Cathleen Rouleau.
