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Sophie Durocher commente sa rencontre maladroite avec Rosalie Vaillancourt à Sortez-moi d'ici

Le monde à l'envers ouvre son plateau de tournage

La participation de la journaliste Sophie Durocher à Sortez-moi d'ici n'a pas manqué de surprendre les téléspectateurs. Et à en croire la remarque de sa camarade de campement, Rosalie Vaillancourt, il n'y a pas que le public qui s'est étonné de la présence de la chroniqueuse, qui tend à faire réagir avec ses articles aux opinions bien tranchées.

Dans l'épisode de dimanche, Rosalie était visiblement inconfortable de ne pas reconnaître Sophie. Elle s'est donc adonnée aux présentations dans une transparence maladroite. Puis, en la replaçant, la très volubile humoriste a aussitôt fait de mettre carte sur table en la mettant au fait de sa divergence d'opinion. À l'écran, la scène est un peu inconfortable. Cette interaction a-t-elle teinté à tort la relation des deux candidates ou, du moins, créé un malaise sur le plateau?

« Je ne dirais pas un malaise. Elle a son franc-parler, j’ai mon franc-parler. Je trouve que ç'a été dit quand même de façon respectueuse. Mais on n'est pas obligé d’aimer, je ne suis pas obligée d’aimer tout ce qu’elle fait en spectacle, c’est correct aussi », nous disait Sophie, en entrevue.

J’écris des choses, je sais qu’il y a des gens qui ne sont pas d’accord avec moi, mon but n’est pas d’être consensuelle. Je fais ce métier-là parce que j’ai des choses à dire, et je trouve que ça brasse la cage.

« Je ne dirais pas qu’il y a eu un malaise, parce que, de toute façon, ce n’est pas une émission où on s’élimine, où on est là pour dire du mal les uns des autres, on sait qu'on est dans la même situation, qu’on va s’entraider. »

Celle qui écrit pour le Journal de Montréal « savais qu’en allant là, [elle] serait l’élément le plus surprenant, et [elle] vivait très bien avec ça ». Son but, c’était de « sortir de [sa] zone de confort et de confronter ses peurs ».

Avait-elle envie de se faire connaître autrement par le public? Elle répond, en toute transparence.

« Oui, oui, absolument! C’est-à-dire que je ne me lève pas le matin en me disant : ''Oh mon dieu, les gens ne me connaissent pas, il faudrait qu’ils connaissent d’autres facettes de ma personnalité''. Mais je le savais, quand on m’a contactée pour faire l’émission, je me suis dis : ''Ah tiens, ça va être une bonne occasion pour les gens qui ne me connaissent pas, ou qui me connaissent seulement sous un aspect, de découvrir, par exemple, que je suis drôle, que je m’amuse et, surtout, que je suis simple''. On n'est pas maquillés, on n'est pas coiffés, on est vraiment au naturel, et donc ça aussi, être confronté à l’opinion des autres. »

Déjà, Sophie Durocher s'illustre comme très forte et courageuse jusqu'à présent dans l'aventure. On applaudit son courage!

Sortez-moi d'ici, les dimanches 18 h 30, à TVA et TVA +.