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Justin Morissette en route vers l’École nationale de l’humour

Première de la comédie musicale Annie

On savait que Justin Morissette, fils de Véronique Cloutier et Louis Morissette, avait de la graine d’humoriste. Depuis mai dernier, il monte sur scène pour assurer les « après-shows » des spectacles de Rachid Badouri, qui poursuit sa tournée Les fleurs du tapis un peu partout dans la province. Revivez sa première prestation sur les planches ici.

Rachid Badouri nous a d’ailleurs confié, lors du visionnement de presse de la deuxième saison de Sans rendez-vous, à Radio-Canada, mercredi, qu’il trouve le garçon 17 ans « très bon ». « Il est coaché par son père! », a souligné Rachid.

Et ce n’est là que le début. Justin est bel et bien sérieux dans sa démarche, et sa volonté de faire carrière comme humoriste est sincère et solide. Véronique Cloutier a expliqué à Showbizz.net, au moment de lancer la collection automne 2022 de sa gamme de vêtements VÉRO (voyez quelques pièces et notre compte-rendu de l’événement ici) que son fils ne rate aucune occasion de perfectionner son art, et qu’il compte même bientôt s’inscrire à l’École nationale de l’humour.

« Pour l’instant, il est au cégep en communication et interprétation, il fait de l’impro et, éventuellement, après son cégep, il va aller à l’École de l’humour. Mais on voulait qu’il fasse son cégep avant, pour qu’il ait une petite base », a indiqué la fière maman.

Cette dernière a d’ailleurs précisé que Justin, à force de parler de ses plans à gauche et à droite, s’est fait tendre des perches par quelques humoristes. Et Rachid Badouri, dont le one man show est produit par KO Scène, la boîte de Louis Morissette, lui a lancé le défi d’écrire un numéro et d’ensuite aller le tester sur scène lors d’un de ses spectacles. Badouri était convaincu qu’un adolescent de 17 ans n’aurait jamais le courage de relever le défi… Mais c’était mal connaître le jeune Morissette, qui a accepté sans hésiter!

« Ça fait maintenant quatre ou cinq fois qu’il joue, qu’il fait des premières parties », a raconté Véro. « Il capote, il adore ça, c’est une super opportunité qu’il a, et ça lui donne une certaine expérience. Mais ça n’accélèrera pas son chemin. Il va aller à l’École de l’humour comme tout le monde. C’est juste une opportunité et il la saisit. »

Autre bonne nouvelle pour Justin Morissette : il a également décroché un rôle dans une nouvelle série jeunesse dont les détails sont pour l’instant gardés secrets.

« Il a auditionné avec tout le monde, et ce n’est pas un projet produit par KO », a tenu à spécifier Véro.

Delphine et Raphaëlle, les filles de Véro et Louis, ont elles aussi trouvé leur passion. Après un été de chroniques à Bonsoir bonsoir!, Delphine, 19 ans, l’aînée de la famille, s’éloigne pour l’instant momentanément des médias et prévoit entrer à l’université en janvier pour étudier la criminologie. Reviendra-t-elle à la caméra? Peut-être que oui, peut-être que non, a exposé sa mère.

« Elle s’en va dans un tout autre domaine, parce qu’elle aussi veut autre chose, elle veut d’autres bases. Elle ne sait pas encore si elle veut être dans un métier public, devant ou derrière les caméras. Elle s’en va donc en criminologie. C’est complètement autre chose! C’est parfait, elle fait son petit chemin. Elle a du caractère, ma Delphine, alors elle va faire son chemin... »

Quant à Raphaëlle, qui célébrait ses 13 ans le 6 octobre (son père a partagé une photo touchante pour l’occasion, voyez-la ici) « c’est une adorable jeune fille », a mentionné Véro. Raphaëlle a joué dans la comédie musicale Annie, à Montréal et à Québec, pendant la saison chaude, et rêve de prendre part à d’autres productions du genre.

« Elle a eu la piqûre. Elle aime le trip de gang. Ce n’est pas une petite fille qui veut être seule en avant; elle veut être avec les autres, en groupe, elle fonctionne bien comme ça. On va voir s’il y aura d’autres opportunités », a glissé la cheffe du clan Cloutier-Morissette, en insistant sur le fait que son conjoint et elle n’imposent rien à leur progéniture.

« Dans les trois cas, on ne pousse rien, on ne les force pas. Les opportunités se présentent. Mais c’est sûr que, quand tu grandis dans ce milieu, ce sont des choses qui peuvent arriver. Ils arrivent à un âge où on ne peut plus les empêcher de faire ce qu’ils veulent; si on tire, eux vont tirer de l’autre bord. Alors, on les laisse aller! », a conclu Véro en riant.