Publicité
Stars

Jonathan Roy s’ouvre sur sa relation avec son père, Patrick Roy

Lancement de l'album Life Distorsions de Jonathan Roy

Pas facile, se faire un prénom dans la sphère publique quand notre père s’appelle Patrick Roy et qu’on a de surcroît joué au hockey, comme lui.

Jonathan Roy, qui lançait la semaine dernière son excellent sixième album, Life Distorsions (revivez le lancement ici), ne s’épanche pas en détails quand on lui demande comment est aujourd’hui son rapport avec son illustre paternel.

« Ma relation avec mon père? Elle est bonne. Est-ce qu’elle pourrait être meilleure? Absolument! », a lancé le chanteur de 33 ans en réponse à la question de Showbizz.net en entrevue, quelques heures avant son spectacle au MTELUS, vendredi dernier.

Poursuivant avec un petit rire, il a ajouté, confondant français et anglais comme dans tous ses propos :

« Je pense que c’est ça, la vie. Souvent, nos relations avec nos parents ont des limites, justement parce que ce sont nos parents, des êtres qui ont eu autorité dans notre vie. Mon père et moi, notre relation s’est beaucoup améliorée depuis que j’ai 22 ans. Moi, avec mon frère, ma sœur, mon père, ma mère, I Love The Relationship We Have. It’s Beautiful! It’s Not Perfect, But I’m Very Happy! »

De son frère Frédérick et sa sœur Jana, elle-même maman de deux enfants, Jonathan Roy dit être « très proche ».

« On se voit beaucoup moins, parce qu’évidemment, on essaie tous de se placer dans la vie, mais en vieillissant, on va trouver le moyen de passer plus de temps ensemble! »

Le hockey ayant évidemment occupé une grande place à la maison dans son enfance, et lui-même ayant pratiqué ce sport de l’âge de 2 ou 3 ans jusqu’à 19 ans – on se souvient qu’il avait accédé à la Ligue junior majeur et fait partie des Remparts de Québec avant de se réorienter dans la musique – Jonathan est-il encore intéressé à manier bâton et rondelle?

« Pas vraiment, non. Même le regarder… Peut-être les "playoff", une fois de temps en temps. Peut-être que ça va me repogner un jour et que, rendu à une cinquantaine d’années, je vais jouer dans les petites ligues de garage. Who Knows! », évoque l’artiste, qui, résolument, aime jouer dehors.

« Hiking [randonnée], camping, making music, diving [plongée]… I Want Experience Life, and Have Fun! Le hockey, je l’ai vécu et je suis passé à autre chose. On avance! », a conclu un Jonathan très serein.

Celui-ci nous a parlé en toute franchise de sa conception de l'amour libre et de la cérémonie d'ayahuasca qui a changé sa vie. Lisez notre entretien ici.

Mentionné dans cet article