Le couple de Si on s'aimait formé d'Audrey et de Dominic a vécu bien des tribulations au cours des dernières semaines. D'abord, ils ont vécu un coup de foudre, puis l'affection s'est lentement transformée en exaspération. Désormais, ils ne peuvent plus se sentir.
La semaine dernière, on apprenait que Dominic avait appelé la production afin de leur annoncer qu'il quittait officiellement l'expérience. Audrey a été informée de la chose par la productrice, ce qui ne lui a pas plu du tout. La candidate a ensuite téléphoné à Dominic lorsque les caméras ne la filmaient plus, et le duo a eu une prise de bec assez violente, de ce qu'on en comprend.
Ce lundi, Dominic, dans le bureau de Louise, affirmait qu'il était prêt à réintégrer l'émission avec Audrey. En tant que téléspectateurs, nous étions pour le moins déconcertés par ce changement de cap. Audrey, de son côté, est formelle : elle ne veut plus collaborer avec Dominic. On comprend sa décision. On se demande pourquoi Dominic est revenu à la charge et insiste pour réintégrer l'aventure. Oui, Si on s'aimait est une expérience formatrice d'un point de vue personnel, mais ces deux-là se font visiblement bien plus de tort que de bien. À un moment donné, il faut savoir lâcher prise, et, dans leur cas, cela signifie malheureusement abandonner.
Dans l'épisode de ce mardi soir, on assistera à une nouvelle thérapie de « couple » entre Audrey, Dominic et la thérapeute Louise Sigouin. Ce sera probablement l'occasion pour les deux parties de mettre carte sur table et, on l'espère, de passer à autre chose. Parce que oui, ce duo nous livre un bon divertissement, les voir se chamailler jour après jour entraîne son lot de bisbille dont les amateurs de téléréalité raffolent. Mais quand on pense aux humains derrière les « personnages », on espère les voir démissionner pour le bien de leur santé mentale.
Rappelons que la production a dû, une fois de plus, sermonner les téléspectateurs après des débordements sur les réseaux sociaux concernant ce couple qui fait jaser. Apprenez-en plus ici.
