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Serge Denoncourt déverse son fiel sur un joueur de Survivor Québec

Hair - La comédie musicale en répétitions

De retour au Québec depuis peu, Serge Denoncourt était en visite sur le plateau de Survivor Québec en prolongation. Au cours de l'émission, il a été invité à commenter le jeu d'Éric, qui n'est pas son candidat préféré, loin de là...

« Moi, je ne pourrais pas tenir deux heures sur cette île-là donc j'ai toute l'admiration du monde pour Éric, mais, si j'avais été choisi par Jean-Thomas aux auditions pour être un Survivor, je passerais tout mon temps à donner du riz aux autres pour qu'on sorte Éric pour ne plus l'avoir sur l'île », lance-t-il d'abord.

« Premièrement, il nous fait des grandes déclarations dans les confessionnaux. "C'était il y a deux jours, ça, Éric! C'est y'a deux jours qu'on faisait ça!" »

Il fait son big-joueur avec la grosse stratégie, [mais] il lit très, très mal le jeu. Il est paranoïaque. Il tape sur les nerfs à tout le monde.

Il ajoute : « Dans les derniers épisodes, tout le monde fait : "Éric, s'en vient, change de sujet, change de sujet." [...] Pourquoi il est encore là? Comment vous avez fait pour supporter ça aussi longtemps? »

André, aussi sur le plateau, répond essentiellement qu'Éric est un vrai « survivant ». « Il réussit », dit-il. « Il y a beaucoup de twists cette année, ça prend beaucoup de chance. »

Quand l'animateur Benoît Gagnon demande comment il est sur l'île en précisant que ce qu'on voit n'est qu'une petite parcelle de l'aventure, Serge Denoncourt réplique ainsi : « Une chance! »

« Il est très dynamique, très intense. Il a tellement d'énergie. Mais moi, honnêtement, je trouvais ça tellement divertissant. Parce que souvent, on est fatigué. L'ambiance au camp, souvent, elle est très calme. Moi, je trouvais qu'il ajoutait du piquant », répond Florence.

Serge ajoute qu'Éric est manipulable. Myriam réussit à lui faire croire que c'est lui qui prend les décisions. « Elle a vraiment une main dans la marionnette. »

L'analyste Jean-Thomas Jobin essaie de donner du crédit à Éric en disant qu'il a su voir que Myriam était une joueuse dangereuse et avait voulu l'éliminer, mais Serge n'est pas d'accord. « Il a nommé tout le monde! Il ne peut pas se tromper. Il nomme tout le monde et à un moment donné il a raison... »

Jean-Thomas mentionne que, de son côté, il espère qu'Éric rejoigne l'aventure depuis trois ans.

Je le trouve fascinant. [...] Il fait un jeu de grandeur-nature qui s'appelle Bicolline. Il est roi des terres du Sud.

« Toute ça m'énarve! », réplique le bouillonnant Serge en parlant du passe-temps inusité de l'enseignant au secondaire. « C'est étonnant qu'il ait tout ça comme bagage et qu'il ait une si mauvaise lecture de ce qui se passe autour de lui ».

Il termine sa critique en disant : « Je suis content qu'il soit là. Ça permet de chialer le lendemain à la machine à café. »

Ah Serge, on s'ennuyait de tes critiques acidulées!