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La violence faite aux femmes abordée dans un épisode percutant de Première ligne : Chaque seconde compte

Première ligne : chaque seconde compte

Pour clore sa seconde saison présentée à Moi et Cie, l'émission Première ligne : chaque seconde compte offre un épisode qui ne pourrait être plus d'actualité.

Alors que le nombre de cas de féminicides au Québec fait peur et que la violence conjugale a augmenté dans les foyers pendant la pandémie, Moi et Cie nous sensibilise sur le sujet avec un épisode percutant, qui sera diffusé ce mardi 27 avril, à 22 h.

Dans celui-ci, on s'intéresse à un appel de détresse logé par une femme qui a été victime de violence conjugale.

On verra donc les intervenants de première ligne interagir avec la dame, qui est en crise et en choc.

Après avoir été frappée par son ex-conjoint, celle-ci s'est réfugiée dans son véhicule stationné pour appeler les services d'urgence. Elle se plaint de migraine, puisque l'agresseur lui a asséné des coups de pieds à la tête, avant qu'elle puisse s'enfuir. Elle a cru mourir. Ses enfants sont toujours à l'intérieur du domicile, endormis, avec l'agresseur. La police se présentera sur place pour le mettre en état d'arrestation, mais les choses ne seront pas simples.

L'appel, passé au 9-1-1, vous donnera des frissons et vous hantera longtemps. Il va sans dire que le calme avec lequel les intervenants traitent le cas est absolument impressionnant. Cela ne serait pas donné à tous d'aider dans un contexte aussi stressant.

Cet épisode ne manquera pas de sensibiliser sur le sujet de la violence faite aux femmes. D'ailleurs, à chacune des pauses publicitaires, le diffuseur indiquera les coordonnées de services qui peuvent venir en aide aux personnes impliquées dans de tels événements. Si vous êtes témoins ou victimes de telles violences, il ne faut pas attendre, il faut demander de l'aide.

Alors que deux artistes très appréciées du grand public, Laurence Jalbert et Annive Villeneuve, viennent de dévoiler avoir vécu de la violence conjugale, le sujet ne saurait être plus chaud. Pour que cela cesse, il faut en parler.