Les jeunes mariés Claude Meunier et Virginie Coossa en ont ému plusieurs lors de leur passage à En direct de l’univers, samedi dernier, alors que l’auteur de La petite vie était l’invité d’honneur de France Beaudoin.
Virginie y est allée d’une superbe prestation au violon sur la chanson « C’est ma vie », de Salvadore Adamo, l’un des airs fétiches du couple. Le légendaire chanteur italo-belge était présent via vidéo, en direct de Bruxelles, pour interpréter son grand succès, et Virginie Coossa a ensuite enchaîné en grattant son instrument sur les accords de Méfiez-vous du grand amour, de Michel Rivard, qui était aussi sur place en chair et en os pour célébrer la relation amoureuse de son grand ami. Bref, un beau moment.
Et révélateur, car rares sont ceux qui connaissaient les talents de musicienne de l’ex-animatrice de MusiquePlus.
« C’est mon talent caché! J’ai étudié en concentration musique au secondaire. J’avoue que ça faisait longtemps que je n’avais pas sorti mon violon. Je l’ai dépoussiéré », a expliqué Virginie Coossa à Showbizz.net lors du lancement de Famille royale, la biographie de Stéphane Rousseau, mardi soir.
Ce à quoi Claude Meunier s’est empressé de répliquer : non seulement sa douce a étudié l’instrument, mais elle a aussi fait partie d’orchestres et d’ensembles classiques.
« Mais j’avoue qu’après 25 ans, les partitions, au début, c’était comme du chinois! », a continué Virginie. « Il y a trois semaines, je ne comprenais rien. Mais, finalement, ça revient, dans le cerveau. Il faut dire aussi que j’étais épaulée par le violoniste de Céline Dion, Philippe Dunnigan, qui était avec nous sur le show, et qui m’a coachée dans l’après-midi. On avait deux jours de répétitions. Après, il faut y aller dans le plaisir, et on fait notre possible… »
L’amoureuse a bien sûr dû s’exercer en cachette de son nouvel époux, à la maison, dans les jours précédant le fameux soir d’En direct de l’univers. Claude Meunier n’avait réellement aucune idée du rôle que pourrait jouer l’élue de son coeur dans son « univers musical ».
« L’équipe garde ça vraiment très, très secret. Je me disais qu’ils l’inviteraient peut-être à chanter. Elle ne joue jamais de violon à la maison, donc je n’ai jamais pensé qu’elle jouerait du violon! »
Cette édition d’En direct de l’univers était le baptême de Claude Meunier de l’émission de variétés, qui n’avait encore jamais eu « son » En direct de l’univers. Il y était toutefois allé deux fois pour offrir des surprises à des amis.
« J’avais déjà été invité, il y a très longtemps, et j’étais alors très occupé. Ça n’adonnait pas, j’étais dans mes tournages, et ça n’avait pas fonctionné. Et je l’ai toujours regretté! Je me disais que j’aurais aimé y aller », a expliqué ce dernier, en blaguant qu’il ne rate jamais le rendez-vous de France Beaudoin parce qu’il est diffusé juste après La petite vie en rediffusion, le samedi à 18 h 30!
La famille Meunier-Coossa se rappellera sans doute longtemps de ces instants précieux sur les ondes d’ICI Télé. D’ailleurs, des photos de la fille aînée de Claude, Juliette, et de ses deux filles, Satya et Dalia – qui ont entonné Pour un instant, d’Harmonium, pour le plaisir de leur papa et grand-papa –, et de Léo, le fils de Virginie (« fan numéro 1 de Claude! », a assuré la maman), qui a aussi offert un numéro, ont été publiées sur les réseaux sociaux, et elles sont magnifiques! Voyez-les ici. Claude Meunier a d’ailleurs précisé que ses deux autres filles et le reste de son petit clan se trouvaient dans le public d’En direct de l’univers, à défaut d’être devant la caméra.
Entrepreneure heureuse
Est-ce que ce bref retour sous les projecteurs a donné envie à Virginie Coossa de renouer avec le métier d’animatrice ou de chroniqueuse? Pas particulièrement.
À la tête de la boutique virtuelle V comme Coossa, qui célébrait ses cinq ans cette semaine, et où elle met de l’avant des produits d’artisans québécois, la jeune femme a pris goût à la vie d’entrepreneure.
« J’adore ça, pour la latitude et la liberté que ça donne », a-t-elle confié. « Claude et moi, on essaie de se faire une vie un peu en liberté, en mouvement, pour pouvoir voyager. C’est un bon compromis. »
« En fin de semaine, j’étais à En direct de l’univers, et je tripais, mais j’ai réalisé que ça ne me manquait pas. J’ai adoré l’expérience et retrouver les gens sur le plateau, parce que je connaissais tout le monde; c’était du gros bonheur! Mais je ne carbure pas à être en ondes... »
