En entrevue avec Le Journal de Montréal, Anaïs Favron a raconté l'année éprouvante qu'elle a vécue.
« En avril, on a entré mon père en CHSLD parce qu’il souffrait de démence. Je suis aidante naturelle deux fois par semaine, je dois aller nourrir mon papa. Ma tante s’est fait assassiner par son conjoint à l’Action de grâce. Et j’ai eu un diagnostic de maladie mentale », explique l'animatrice.
Elle précise que la COVID est indirectement liée à tous ses problèmes. Son oncle, qui souffrait d'une dépression, a mal réagi aux médicaments et n'a pas pu obtenir les soins de santé nécessaire ce qui l'a amené à enlever la vie de sa femme avant de se suicider. Quelle triste histoire!
Après qu'on ait refusé l'aide médicale à mourir à son père, il a attrapé la COVID. Heureusement, n'en a pas trop souffert. C'est pour rester auprès de son paternel qu'Anaïs Favron a refusé des contrats, dont celui de participer à Big Brother Célébrités. Apprenez-en plus sur la nouvelle émission de Noovo ici.
On souhaite beaucoup de courage à Anaïs Favron en cette période difficile.
On pourra voir Anaïs Favron dans 50 façons de tuer sa mère le jeudi à 20 h sur Unis TV dès cette semaine.