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Julien Lacroix réplique avec vigueur à un article du Devoir sur des allégations d'inconduites

Première du film Les barbares de la Malbaie

********* MISE À JOUR *********

L'agence Phaneuf s'est dissociée de l'humoriste Julien Lacroix. Son nom n'apparaît plus sur leur site.

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Le Devoir publiait ce matin un article étoffé dans lequel neuf femmes dénoncent des abus allégués de la part de l'humoriste Julien Lacroix. Consultez notre texte sur le sujet ici.

Il n'aura pas fallu attendre très longtemps avant de pouvoir lire la réplique de celui-ci, qui réfute le portrait que l'on dresse de lui.

Il écrit : « J'ai 27 ans, j'en ai fait des conneries dans ma courte vie, par contre ce matin, Le Devoir va trop loin.

Je commence à être habitué aux ragots et aux potins dans ma courte carrière. Par contre, détruire le travail d'une vie ? Dans un seul article ? Où je n'ai même pas pu donner ma version des faits ?

Aujourd’hui franchement on vient d’entrer dans une autre dimension.

Je ne suis pas un ange, mais pas un démon non plus, et certainement pas le prédateur sexuel qui sévit depuis une décennie comme Le Devoir me décrit ce matin. De plus, la plupart des événements qu’on me reproche seraient survenus quand j’étais mineur. »

De même, il confirme la méthode du journal qui n'a pas voulu lui fournir les détails de ces dénonciations avant qu'il consente à une entrevue :

« On devrait normalement pouvoir se défendre devant de telles allégations, mais pas selon Le Devoir. La journaliste m’a lancé des ultimatums durant plusieurs jours sans jamais accepter de me dire ce qu’on me reprochait précisément et de qui venaient les allégations. Comment voulez-vous que je réponde sans connaître les détails précis et sans savoir de qui on parle ni de qui elles viennent? »

L'humoriste confirme devoir prendre un moment de recul professionnel pour lui permettre de contempler les recours qui s'offrent à lui dans les circonstances : « Personnellement, je suis favorable à tout processus juste et efficace pour soutenir toute victime d’une infraction criminelle. Mais si l’objectif est d’attirer l’attention du public en portant atteinte à la réputation et à la crédibilité d’une personne, là c’est autre chose.

Entre temps, je n’ai pas le choix de prendre un moment de recul par rapport à tous les projets auxquels je suis associé, ainsi que de mon équipe de gérance et de production, puis de réfléchir aux recours qui s’offrent à moi dans ce contexte. »

Consultez son message complet ci-dessous.

Mentionné dans cet article