En visite sur le plateau de Deux hommes en or et Rosalie vendredi, Gino Chouinard a parlé de ses prises de parole de plus en plus assumées et fréquentes sur les réseaux sociaux.
Il est notamment revenu sur l’une d'entre elles dans laquelle il dénonçait l'agressivité de certains camionneurs contestataires à Ottawa.
« C'est une collègue dans la région de Québec qui a été traitée de noms qu'on n'apprend pas à l'école, mais qu'on apprend dans la cour d'école », explique-t-il. « Ça, ça m'a rejoint comme collègue, mais comme citoyen responsable aussi. Alors, je me suis permis d'écrire un message. Je ne me souviens pas exactement ce que ça disait, mais c'était quelque chose comme : "heille, notre tolérance a ses limites, il faut parfois respecter les limites de l'autre, si vous voulez qu'on respecte la vôtre." »
Il ajoute : « Et là, c'est devenu une espèce de bordel où il y a eu des accusations. Ma famille était touchée là-dedans. Quand j'ai vu que ça dépassait les limites, j'ai tout effacé. »
Il indique également : « Le droit de manifester, il est pour tout le monde, mais à un moment donné, ça ne vient pas avec le droit d'être irrespectueux, misogyne, sexiste, baveux, menaçant envers des gens qui font leur métier de rapporter ce qui se passe avec le plus de jugement possible. »
Parlant de prise de parole plus fréquente, on se rappellera que Gino Chouinard avait aussi réagi à la controverse des influenceurs et Sunwing.