Cette semaine, l'équipe d'Un souper presque parfait était à Montréal.
Cinq jeunes dynamiques se sont reçus à manger successivement.
Les cinq cuisiniers amateurs, qui avaient tous relativement le même âge (dans la vingtaine), avaient des personnalités flamboyantes que nous avons pris plaisir à découvrir.
L'un d'eux, Kevin, un designer concepteur de 28 ans, a investi énormément d'argent dans son souper. La protéine pour son repas principal? Un boeuf Wagyu japonais de 300 $. Il a aussi fait le décompte de tous les objets et vêtements qu'il s'est procuré en vue de cette apparition télé et la facture s'élevait à 1 600 $.
Dans sa description en début de semaine, on pouvait l'entendre dire qu'il était un adepte du magasinage. « La crise économique n'a pas été si forte au Canada parce que j'étais là pour aider mon concitoyen avec mon pouvoir d'achat incroyable. »
Il faut savoir que la production d'Un souper presque parfait offre une somme aux participants pour payer leur souper, mais le petit chèque de Noovo ne couvrait probablement même pas le prix de sa nappe...
Heureusement, le sympathique Kevin a fait un travail impeccable, autant au niveau de la préparation que du service, ce qui lui a valu la première place. Par contre, il s'était engagé à acheter une toile à un des autres participants s'il gagnait. Son 2 000 $ n'a donc pas aidé à rembourser ses nombreuses dépenses.
Aussi, cette semaine, Un souper presque parfait a bien failli former un couple. Deux candidats, Roxanne et Peter, se sont échangé quelques regards complices, mais la principale intéressée a confirmé sur les réseaux sociaux qu'ils n'étaient que des amis.
Les téléspectateurs ont été emballés par cette semaine divertissante d'Un souper presque parfait, la qualifiant même de « meilleure depuis longtemps ». Il faut effectivement avouer que ce groupe avait un petit quelque chose de bon enfant qui nous a charmés.