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Télé

Serge Denoncourt critique et écorche 10 émissions à Tout le monde en parle

Voici les invités de la 2e saison de Y’a du monde à messe

Tout le monde le sait maintenant, Serge Denoncourt n'a pas la langue dans sa poche. Son plus récent passage sur le plateau de Tout le monde en parle en a fait la démonstration plus que jamais.

Après avoir écorché les internautes et leurs commentaires parfois niais, le populaire juge de l'émission de variétés Les Dieux de la danse a été invité par Guy A. Lepage à faire sa critique en direct de plusieurs émissions de télévision très populaires, lors d'un segment « C'est juste de la TV ».

À noter que plusieurs des projets abordés mettent en vedette des artistes qui étaient présents sur le plateau de TLMEP ce soir-là. Voici ce qu'il avait à dire, n'en déplaise à certains :

L'auberge du chien noir« Que ça meure. »

Le Bye Bye

« Le dernier mettons, j'ai adoré le dernier. Pour vrai, vrai, vrai. Mais c'est la dernière job au monde que je voudrais faire, parce que peu importe ce que tu fais, tu ne peux pas satisfaire tout le monde. Il va y avoir du chialage. Je n'aurais pas le goût moi le 1er janvier de me réveiller avec du chialage... pis appelle-moi pas (à Anne Dorval). »

Denis Lévesque

« Ça me met extrêmement mal à l'aise Denis Lévesque. Il doit y avoir un public pour ça, mais je ne comprends pas les invités et je ne comprends pas les questions non plus. Alors je suis comme un peu mal à l'aise devant ça, je ne comprends pas ce que je regarde. »

Ces gars-là

« Je l'ai presque tout écouté. La vérité; je trouvais ça paresseux parfois, je trouvais qu'ils auraient pu aller plus loin, mais c'était une très bonne émission et ça faisait du bien de voir un héros qui ne soit pas un blanc du plateau. Parce qu'ils étaient deux. Il y en avait un bon, pis il y avait lui (en pointant Simon Olivier Fecteau). »

En Mode Salvail

« C'est le meilleur qui côtoie le pire. C'est-à-dire que quand Éric est très drôle et que l'invité embarque dans le jeu, que ça marche et que la chimie pogne, c'est formidable. Quand il décide de fourrer des dindes ou d'aller lever des robes de mariées des madames, je ne trouve pas qu'Éric a besoin de faire ça. C'est un gars qui est tellement drôle, pour vrai, il n'a pas besoin d'être disgracieux ou vulgaire. »

La voix

« J'haïs les concours. Mais à choisir, j'aime mieux La Voix que La voix junior. La Voix Junior, je trouve que c'est indécent. Quand 2 millions de personnes t'ont vu te faire rejeter, ce n'est pas vrai qu'à l'école le lendemain matin, toute l'école s'est fait dire « aye, faites pas de jokes sur Kevin ». Je ne comprends pas pourquoi il faut aller jusque-là pour des concours avec des enfants. La Voix, c'est des adultes. Moi ça ne m'intéresse pas, mais le format est bien fait,  c'est archi-professionnel. Là c'est plus une question d'intérêt. »

L'ADISQ

« J'ai trouvé que c'était un bien mauvais gala, sauf l'animation. Le problème c'est que ça n'a plus de bon sens qu'on regarde le gala de l'ADISQ pour voir l'animateur. Il y a un petit peu de tout, de la musique, ça m'intéresse, ça ne m'intéresse pas, au point que le lendemain, on ne parle que de Safia et de l'animation de Louis-José. On ne parle pas des gagnants. Il y a un problème clair. »

Un souper presque parfait

« J'hais ça. Ça ne m'intéresse pas de voir du monde niaiseux qui dit des niaiseries pis qui mange des affaires pas bonnes. Ça ne me fait pas rire. »

Les Dieux de la danse

« C'est une émission ordinaire, je m'explique. C'est une émission de variétés. Tous ceux qui ont pensé voir un grand concours de danse, oubliez ça. Tous ceux qui ont pensé voir une émission intellectuelle, oubliez ça. Tous ceux qui ont pensé qu'on allait réinventer la télévision, oubliez ça. Si vous voulez un bon show de variétés avec les danseurs qui sont souvent ben bons ou ben mauvais, pis le show continue sur le divan, parce que quand les invités continuent à avoir du fun avec nous, c'est drôle en tabarouette, ça prétend rien d'autre. »

La Petite séduction

« Quand je regarde La petite séduction, je suis mal. Je serais mal d'être invité-là [...] Je serais un invité de marde qui aurait de la misère à faire semblant.  »