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Isabelle Boulay parle de sa vie sous haute surveillance avec son conjoint

Lancement de l'album de Noël d'Isabelle Boulay

Éric Dupond-Moretti et Isabelle Boulay se fréquentent depuis quelques années. Éric Dupond-Moretti était avocat au moment de leur rencontre, mais celui-ci est devenu le ministre de la Justice de la République française l'été dernier, un poste très important qui a changé considérablement leur quotidien.

Comme Isabelle Boulay était de passage sur le plateau de Julie Snyder ce lundi, l'animatrice a discuté avec la chanteuse de cette nouvelle vie sous haute surveillance qu'elle mène en France auprès de son conjoint.

« Nous sommes toujours sous escorte », indique-t-elle. « Un policier nous ouvre la porte quand on entre chez nous et un autre va inspecter les escaliers. Nous sommes bien protégés. »

Elle raconte qu'elle a un bouton-panique chez elle qui ressemble à celui de La voix. « L'été dernier, ils sont arrivés à notre domicile et ils ont dit qu'ils allaient nous installer un bouton d'urgence et, si jamais quelqu'un entre, j'appuie sur ce bouton-là et il y a tout de suite quelqu'un qui communique avec moi. »

Elle dit avoir été impressionnée la première fois qu'elle a mis les pieds à la Grande chancellerie de France. « C'était vraiment magnifique. Je me suis assise là, et je me suis rendu compte : je suis en face de la Place Vendôme, à côté du Ritz, c'est un des endroits les plus visités dans Paris... Je me disais : "si mon père me voyait ici!" Il n'y avait rien qui me prédestinait à une chose pareille, mais ce n'est pas moi, je suis la personne qui l'accompagne dans sa vie, mais c'est sa vie à lui. Je ne m'enorgueillis pas de cette chose-là. J'essaie d'être-là pour lui, comme une amoureuse est là pour son amoureux. [...] Dans mon destin, c'est quelque chose auquel je ne m'attendais pas. »

La chanteuse raconte également avoir été poursuivie par les paparazzis. C'est d'ailleurs grâce à des photos de ces derniers que les médias français ont pu annoncer qu'ils formaient un couple. « Ce qu'ils voulaient c'était des photos de nous deux ensemble. Éric partait le matin à la chancellerie et moi je sortais dans notre quartier. [...] Je les voyais sur leur moto. [...] Ils étaient toujours aux aguets. Et, à moment donné, on est allé à Nice et à Saint-Jean–Cap-Ferrat et on s'est fait goaler comme on dit. »

Voyez les amoureux ci-dessous :

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