Les Minions sont mon antidépresseur de prédilection, ma poussée d'endorphine maison, ma thérapie personnelle.
Certains de vous le savent - quelques-uns en sont peut-être même aussi atteints -, il existe depuis peu un nouveau syndrome qui afflige l'espèce humaine; celui de la « miniomanie », l'obsession envers les Minions. Je dois l'avouer, j'en souffre, personnellement. Ces créatures jaune issues de l'univers de Despicable Me me font rire à l'excès. Il me suffit de les voir converser dans leur dialecte inventé (inspiré de plusieurs langues connues) ou de les voir danser ou chanter frénétiquement pour que la folie me gagne et que toute l'austérité qui m'habite s'estompe instantanément. Les Minions sont mon antidépresseur de prédilection, ma poussée d'endorphine maison, ma thérapie personnelle.
La pré-bande-annonce de Despicable Me 2 dans laquelle quatre Minions, dont un armé d'une flûte de fête, chantent la maintenant célèbre chanson Banana, est mon anxiolytique préféré. Il n'y a aucune situation embarrassante qui ne peut être désamorcée par cette rengaine juvénile. En cette période des fêtes, je troque mon Banana pour ce Vive le vent « minionisé ».
Je vous conseille de conserver ces deux liens Youtube dans vos favoris et lorsque la colère ou la mélancolie vous gagnera, écoutez-les, vos ennuis disparaîtront instantanément. C'est ma prescription.
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