En effet, sur le site de recensement de critiques RottenTomatoes.com, le film affiche une note franchement intéressante de 83 %, et ce, à quelques jours seulement de sa sortie en salle.
Dans ce troisième opus, un retrouve Bridget Jones dans la quarantaine, plus mature et plus posée. Jusqu'à ce qu'elle tombe sous le charme, à quelques jours d'intervalle, d'un bel homme aux traits de Patrick Dempsey et de son ex Mark Darcy (Colin Firth). Le fruit de ces aventures? Une grossesse alors qu'elle ignore qui est le père. Bridget devra donc faire encore un peu de ménage dans sa vie avant d'accueillir le petit poupon.
Voici donc un échantillon de ce que la critique pense de ce troisième long métrage :
- « Le plus chaleureux et le plus satisfaisant de la série ». - Village Voice
- « Amusant et charmant. Tout ce qu'il manque c'est Hugh Grant dans la peau de de Daniel « investit dans des bobettes cadenassées » Cleaver ». - Time Out
- « Des scènes à l'humour britannique désopilant surviennent, avec des ingrédients clés de la comédie romantique à la sauce Working Title, tout cela mélangé dans un scénario vitaminé ». - TheWrap
- « La procédure est plutôt typique pour Bridget Jones, mais c'est présenté de manière tellement honnête qu'on peut difficilement entretenir une rancune ». - Entertainment Weekly
- « Bridget Jones's Baby est un amical triangle amoureux qui satisfait avec humour et coeur ». - JoBlo
- « Zellwegger brille dans le rôle d'une Bridget plus âgée et sage, bien que certains éléments de la comédie romantique jouent parfois en sa défaveur ». - ComingSoon.net
- « Plein d'affection et hilarant ». - Times (UK)
- « Presque toute la distribution est de retour, les blagues sont incisives et les références culturelles tombent juste à point ». - The Sun (UK)
- « Nous sommes heureux que ce film existe et nous sommes heureux que les choses se soient arrangées pour Bridge. Nous ne sommes juste plus certains si elle est encore l'une des nôtres ». - Digital Spy
- « Zellwegger est de nouveau en contrôle ici et même ses excès lui sont rapidement pardonnés si on les compare à ceux du désastreux The Edge of Reason de 2004 ». - Daily Telegraph (UK)