Fast & Furious 6 avait aussi bien fait en 2013 en amassant 97 millions $ à son premier week-end, et Fast Five en 2011 avait également impressionné avec des gains de 86 millions $, mais 143 millions $ pour l'énième opus d'une franchise de presque quinze ans, ce sont des chiffres colossaux.
Le décès récent de l'un des deux acteurs principaux a probablement encouragé davantage les fans de la série à s'entasser dans les salles lors de la première fin de semaine du film à l'affiche. Les critiques assez positives et les congés de Pâques ont certainement eu aussi un effet constructif sur les résultats au box-office nord-américain.
Furious 7 n'a, par contre, pas eu des retombées lucratives qu'en Amérique du Nord. À l'international, le film a fait 240 millions $, pour un total dans le monde de 384 millions $.
Une franchise aussi longue, qui n'est pas inspirée d'un livre qui plus est, aurait pu depuis longtemps s'essouffler, mais depuis Fast and Furious, le quatrième chapitre paru en 2009 qui a marqué le retour de Vin Diesel et de Paul Walker dans les deux rôles principaux, la série n'a cessé d'attirer davantage de cinéphiles et d'engraisser son box-office. Comme Fast & Furious 6, sorti en mai 2013, avait cumulé 788 millions $ mondialement, on peut s'attendre à ce que le nouveau film dépasse ce record et atteigne peut-être même le milliard de dollars en recettes. Furious 7 n'a toujours pas pris l’affiche en Russie, en Pologne, en Chine, au Japon et en Islande.
Vu le succès sans précédent de Furious 7 dans les salles, le long métrage d'animation de Dreamworks Home est recalé au second rang avec des recettes de 27 millions $ (une baisse - normale - de 47% par rapport à la fin de semaine dernière), et Woman in Gold, sorti aussi vendredi dernier, n'a fait que 2 millions $ ce week-end.