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Entrevue

Une jungle peu accueillante pour Alex Perron et Clodine Desrochers à Sortez-moi d'ici

Sortez-moi d'ici 2

Le premier épisode de la deuxième saison de Sortez-moi d'ici, diffusé ce dimanche, a mis à rude épreuve la nouvelle cohorte de campeurs. D'emblée, les animateurs Jean-Philippe Dion et Alexandre Barrette ont averti leurs convives que les défis seraient plus difficiles. Ils n'avaient pas menti!

C'est pour cette raison que, lorsqu'ils ont annoncé à Clodine Desrochers et Alex Perron qu'ils allaient commencer l'aventure en VIP, nous ne les avons pas vraiment crus. Nous avons bien fait...

En réalité, la production a transformé l'acronyme VIP pour « Vedettes isolées au Panama ». Amusant, sauf peut-être pour les deux principaux intéressés qui ont pensé vivre dans le luxe, jusqu'à ce qu'ils se rendent compte qu'on leur réservait plutôt une nuitée dans la jungle sauvage de l'île Caïman. Reptiles, moustiques, singes et autres préoccupations se sont invités dans ce premier séjour inquiétant, qui fut évidemment une belle nuit blanche.

Force est d'admettre que les deux vedettes n'ont pas particulièrement apprécié leur incursion dans la compétition, entre les orages et les hostilités de la jungle, si l'on se fie à leurs témoignages, recueillis quelques jours avant le lancement de cette deuxième saison.

« D'abord, on a vraiment été coincés dans un orage épeurant », nous raconte Alex Perron. « Tu sais, quand tu vois l'orage arriver au loin. Et là, on est passé de il y a des petites vagues à il y a des solides vagues et de la pluie à 45 degrés, mais pas un petit crachin l'fun là. Il mouillait solide! C'est là que s'est enchaînée plus rapidement notre descente de VIP. »

Le séjour sur l'île Caïman n'était pas mieux. « C'est une île minuscule. Ceci dit, c'est magnifique, genre j'y vais un après-midi et je m'en retourne en fin de journée. Les arbres, de la manière que c'est fait, on a l'impression qu'ils se referment sur l'île, donc tu as l'impression d'être dans un film de Walt Disney. Dormir à la belle étoile, on est deux, deux lits de fortune, un petit feu de camp qui se meure et énormément de moustiques. C'est aussi la première nuit où on entend les singes hurleurs, qui sont l'une des affaires les plus épeurantes que j'ai entendues de ma vie. C'est comme un cri humain de film d'horreur. Nous, on était sur leur terrain et ils ne nous aimaient pas », explique Alex.

On s'est sentis vraiment tout seuls et ça partait drôlement l'aventure.

Clodine Desrochers, qui avait passé une semaine au chevet de son père malade la semaine avant de partir pour le Panama, tient le même discours que son complice. Elle explique avoir dit à Alex une phrase qui n'a pas été gardée au montage : « As-tu vu l'île, les lianes? S'ils nous amènent là, d'après moi, une demi-heure et on est morts! » Quelle ne fut pas sa surprise de voir le bateau pivoter vers ladite île!

« Quelle heure est-il? Tu ne le sais pas. Tu n'as pas mangé. Tu as chaud. Tu t'es fait mouiller dessus et tu as eu la tempête en bateau. Là, tu arrives là, tu as juste deux lits de camp et des pierres à terre pour faire un foyer, du riz sec, de l'eau, pis arrange-toi », ajoute-t-elle, avant d'ajouter qu'elle a aussi eu peur des cris des singes hurleurs. « C'est comme le cri d'une meute de chiens enragés. »

Évidemment, le duo rejoindra bientôt le reste du groupe, mais pas avant d'avoir vécu un autre challenge qui mettra à rude épreuve leurs capacités physiques et mentales.

C'est à voir dans le deuxième épisode, présenté dimanche prochain à 18 h 30, sur les ondes de TVA.

Philippe Laprise nous racontait ici son expérience sur le fil de fer. Nous avons aussi voulu savoir comment l'équipe a fait pour l'extirper de là.

Sortez-moi d'ici, visionnement de presse
Télé

Les animateurs de Sortez-moi d'ici logent-ils vraiment dans le luxe au Panama?