Le 25 novembre dernier, Sony Pictures a révélé que son système informatique avait été piraté. À la suite de cette attaque, le public a eu accès à une quantité d'informations sur lesquelles il n'aurait pas eu droit de regard sinon. D'abord, des copies illégales des films Annie, Still Alice et Fury se sont retrouvées sur la toile en format torrent, et maintenant, Entertainment Weekly nous apprend que les salaires que les acteurs Seth Rogen et James Franco ont contractés pour leur participation au film The Interview ont été dévoilés.
Une table couverte de coke, de pot, de pilules et de petites culottes fait aussi partie du budget de ce film.
Rogen, qui agissait en tant que coréalisateur, coscénariste et acteur, a été payé 8,3 millions $ alors que Franco, qui partageait la vedette avec Rogen, a obtenu la coquette somme de 6,5 millions $. Le film a bénéficié d'un budget de 44 millions $, dont 5 000 $ a été investi pour un certain caméo de Kevin Federline, l'ex-mari de la chanteuse Britney Spears. Une table couverte de coke, de pot, de pilules et de petites culottes fait aussi partie du budget de ce film, attendu en salles pour le 25 décembre.
Certains croient que les pirates responsables de l'intrusion dans les ordinateurs de Sony seraient des Nord-coréens tentant de protéger leur réputation, salie dans le film The Interview. Ce scénario est légèrement loufoque, mais comme Rogen a déjà reçu des menaces à cet égard plus tôt cette année, il ne serait pas non plus complètement inconséquent. Voyez un reportage parlant des conflits qu'a engendrés le film de Rogen plus bas, avec deux bandes-annonces du long métrage.
The Interview raconte l'histoire d'un animateur de talk-show vedette qui doit se rendre en Corée du Nord avec le producteur de son émission pour faire une entrevue avec le dirigeant du pays. Avant leur départ, ils sont approchés par la CIA pour agir comme espion et empoisonner le leader Kim Jong-un. Malheureusement, les deux professionnels des médias ne sont pas de très bons agents secrets et les choses tournent rapidement à la catastrophe.
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